Les CCF s’expriment dans les médias et nous informent — Anccef - Association nationale des conseillers conjugaux et familiaux

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Les CCF s’expriment dans les médias et nous informent

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Témoignage d’Hélène DUMONT (84)

Avec ma collègue Isabelle Boussant-Roux, nous avons pu intervenir de façon régulière à la radio RCF pour parler de notre travail. 

https://www.conseilconjugaletparentalite.com/medias

Au printemps, nous avons écrit un article ensemble à la demande de Valérie de Minvielle, https://www.majusteplace.com/ce-qui-se-passe-dans-le-cabinet-dune-conseillere-conjugale-et-familiale/

Nous nous efforçons de parler du conseil conjugal dès que nous le pouvons afin de le faire connaître. Ces informations, en s'ajoutant à celles de nos collègues, permettront de peser un peu plus dans l'argumentation positive de notre activité et de notre utilité ! 

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L'inceste : Victoria MIZRAHI (17) et (97), interviewée, nous donne son éclairage  

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/apres-le-choc-de-l-affaire-duhamel-comment-lutter-contre-l-inceste-7800951353

J'ai été victime d'inceste, je comprends enfin les racines de ma détresse (madmoizelle.com)

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«Grâce au confinement, j'ai aidé un homme infidèle à redécouvrir sa femme» Anne-Catherine LE VERNOY (78) interviewée par LE FIGARO

« Désamorcer les bombes » au sein des familles, c'est son métier depuis plus de quinze ans. Avec l'instauration du confinement, Anne-Catherine, thérapeute de couples, a du coup pris les devants. À défaut de pouvoir ouvrir les portes de son cabinet, situé dans la demeure familiale de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), cette élégante cinquantenaire, mère de sept enfants et grand-mère depuis peu, a instauré des consultations par visioconférence. Par exemple, pour ce jeune couple avec trois enfants, dont le mari, fleuriste, est au chômage. Sur le point de se séparer, il a décidé au dernier moment de se confiner dans leur petit appartement. «J'échange avec eux une ou deux fois par semaine. Je les aide à ne pas s'enfermer dans un cercle vicieux», explique-t-elle. Et de confier : «Devant une telle situation, et en ces temps de mise au chômage partiel, je module mes tarifs en fonction des ressources de chacun».

La praticienne refuse de parler de «clients» et, encore moins de «patients», synonyme de «malades». Elle préfère dire «personnes qu'elle accompagne». Anne-Catherine, qui s'occupe parallèlement d'une association MAP Réussite pour jeunes entre 12 et 25 ans, s'est toujours sentie une vocation de thérapeute. «Petite, je n'avais de cesse d'interroger ma grand-mère sur le fonctionnement des relations au sein de la famille», avoue-t-elle. Pourtant, le parcours est autre : école de commerce, poste chez Xerox (où elle a rencontré son mari), puis chez LVMH, à Lille, pour suivre son époux. Il y a vingt ans, désireuse de s'occuper davantage de sa progéniture, elle se forme, dix ans durant, à sa seconde vie professionnelle.

Les cas de couples fragiles, voués à se confiner ensemble, ne manquent pas. Avec, parfois, des échecs. La praticienne cite un ménage de cadres d'une cinquantaine d'années avec deux adolescents. L'obligation de cohabiter a devancé leur séparation programmée. « Ils ont cessé les consultations. Ils ne se parlent plus », regrette-t-elle.

Mais tout ne se passe pas aussi mal. À l'exemple de ce quinquagénaire qui vit depuis plus de cinq ans une relation extraconjugale, à l'insu de sa femme qui lui reprochait son manque d'investissement familial. Soucieux de ne pas officialiser sa liaison, il est resté à la maison. « Je suis en contact avec lui une heure par semaine. Je l'ai incité à des activités qui les amènent à vivre un moment à deux. Ils ont opté pour faire des puzzles. Depuis, il a changé son regard sur son épouse », se félicite Anne-Catherine.

Autre situation en bonne voie : ce couple trentenaire maghrébin qui, chacun déjà parent d'un enfant, avait, un mois après la naissance de leur petite fille, décidé se séparer. Ex-enfant abandonné, l'homme voulait imposer son autorité au petit garçon de sa compagne. La veille du confinement, le couple s'est donné une chance. « J'ai aidé l'homme à prendre leur bébé dans ses bras, à s'occuper de lui et à trouver, au moment des tensions, un lieu pour s'isoler. Il écoute en l'occurrence de la musique », sourit-elle.

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Éducation au consentement : « il faut apprendre aux enfants à dire «mon corps, c’est moi»Interview de Maëlle CHALLAN-BELVAL (60) dans LA CROIX

Éducation au consentement : « il faut apprendre aux enfants à dire «mon corps, c’est moi» » (la-croix.com)

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Nathalie JACQUOT (38) anime tous les mercredis une chronique sur RCF Isère


https://rcf.fr/vie-quotidienne/psychologie/les-midis-en-famille-avec-vous

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Elisabeth TICHADOU (69) interviewée par LE FIGARO

Entre complotisme, masque et vaccin : comment éviter que le Covid-19 devienne un sujet de discorde à Noël (lefigaro.fr)     

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Caroline Kruse (75) interviewée par Madame FIGARO

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup de crises