Un été productif : réunion avec la Direction Générale de la Cohésion Sociale
La DGCS, depuis toujours nous soutient et nous subventionne. Nos remerciements à ce jour vont tout spécialement vers Mme Ordener, notre interlocutrice, qui continue à nous aider et à nous encourager en se préoccupant de l’avenir de notre métier.
Nous avons, encore au mois d’août, pu échanger et partager auprès des instances décisionnaires pour évoquer à la fois le bien fondé de nos actions et nos missions de reconnaissance du métier, de développement de sa visibilité ainsi que de sa protection. Il est en effet important, à l’heure où le gouvernement s’inquiète des dérives sectaires et de l’emprise sur les individus, que l’intime des familles et des couples soit protégé des gourous auto-proclamés : les personnes qui nous font confiance doivent pourvoir s’appuyer sur des compétences et une formation reconnues, validées et définies clairement. N’est pas CCF n’importe quel professionnel de la relation d’aide ou de l’accompagnement.
Nous avons pu porter à sa connaissance nos projets innovants, des pistes de travail futur, voire des rêves, comme la réglementation de notre métier pour son inscription, par la suite, au registre ADELI (répertoire national des professionnels de santé).
N’oublions pas que notre métier est défini par le code de la Santé publique et que nous avons toute notre place dans les institutions, associations et en libéral. Notre profession n’est actuellement pas règlementée alors qu’elle est sollicitée par un large public (dans tous les milieux et structures) et reconnue parmi les professionnels de la santé reproductive, sexuelle, de la prévention, de la protection et de l’éducation.